Conférence internationale organisée par l’Université de Paris IV-Sorbonne, l'Université de Strasbourg et la Maison interuniversitaire des Sciences de l’Homme d’Alsace en partenariat avec la Société August Strindberg (Strindbergssällskapet). 

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« Il faut que les villes meurent ! » martelait Strindberg tout au long de sa vie. Mais il lui arrivait de dire le contraire – « j’adore les grandes villes ! » – presque tout aussi souvent. Adorée ou détestée, grande ou petite, la ville – aussi bien en tant que notion que comme entité concrète – joue un grand rôle dans ses écrits, tous les genres confondus : la prose, la poésie, le théâtre… Elle joue un grand rôle également dans sa vie et, par conséquent, dans sa correspondance. Des dichotomies telles que Ville / Campagne, Culture / Nature sont des structures porteuses de son œuvre, même si le contenu de ces notions n’est pas resté inchangé.

Ce colloque est organisé dans le cadre du programme  « Villes invisibles et écritures de la modernité. Pour une nouvelle géographie de l’identité » coordonné par Aurélie Choné

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Frais d'inscription : 35 euros

Durée des interventions : 30 min

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Langues de communication : de/en/fr/sv

Langue pour les manuscrits : en/fr

Comité organisateur :

Elena Balzamo, Sylvain Briens, Thomas Mohnike

Comité scientifique:

Elena Balzamo (École pratique des Hautes Études – Paris)

Sylvain Briens (Université Paris IV-Sorbonne)

Thomas Mohnike (Université de Strasbourg)

Per Stam (Strindbergssällskapet)

Katarina Ek-Nilsson (Strindbergssällskapet)

webmaster ou pour toute autre question (en/sv/de/fr):
Laurent Di Filippo
Mail : laurent@di-filippo.fr